Pour la communauté internationale, le temps presse. Afin de faire pression sur Assad, les Etats-Unis ont annoncé lundi la fermeture de leur ambassade à Damas ainsi que le rapatriement de l'ambassadeur et de tout le personnel pour des "raisons de sécurité". La Belgique, le Royaume-Uni, l'Italie et ont annoncé qu'elles allaient rappeler leurs ambassadeurs pour "consultations". Idem pour la France qui en a fait l'annonce mardi. De son côté, l'Union européenne a affirmé qu'elle n'avait pas l'intention de fermer sa représentation en Syrie mais qu'elle envisageait de durcir ses sanctions. En ligne de mire? Les transactions de la banque centrale, les ventes d'or et de métaux précieux.
Ancien alliée de la Syrie, la Turquie a annoncé le lancement prochain d'une "nouvelle initiative internationale" avec "des pays qui soutiennent le peuple et non le régime". Le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan n'a pas préciser quelle serait cette démarche.
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