jeudi 28 juillet 2016

Syrie: Réunion tripartite à Genève au lendemain d'une journée sanglante

Des enfants évacués le 25 juillet 2016 d'un quartier d'Alep tenu par des rebelles, cible de bombardements aériens (Afp)

L'émissaire de l'ONU pour la Syrie doit rencontrer des représentants des Etats-Unis et de la Russie pour évoquer le conflit mardi à Genève (Suisse), au lendemain de bombardements meurtriers près d'Alep qui font craindre une aggravation de la crise humanitaire.
Moscou, allié du président syrien Bashar al-Assad, et Washington se sont mis d'accord sur une coopération accrue et des "mesures concrètes" destinées à sauver la trêve en Syrie et à combattre les jihadistes, notamment ceux du groupe Daesh qui ose se prétendre Etat islamique (EI).
Mais ce projet, qui pourrait comprendre une coopération entre les militaires américains et russes sur place, suscite le scepticisme d'un certain nombre de responsables à Washington, réticents à partager avec Moscou des renseignements sur la Syrie.
Et le secrétaire américain à la Défense Ashton Carter a jugé lundi que la Russie était encore "loin" des positions des Etats-Unis sur un certain nombre de dossiers, dont la mise en place d'une transition politique qui verrait le retrait de Bashar et le ciblage non pas de l'opposition modérée, mais des "extrémistes".
Mardi, les chefs de la diplomatie américaine John Kerry et russe Sergueï Lavrov doivent également se rencontrer au Laos, en marge d'une rencontre des pays d'Asie du Sud-Est (Asean).
De son côté, l'émissaire de l'ONU pour la Syrie Staffan de Mistura espère relancer des pourparlers de paix en août, après l'échec de deux sessions de négociations cette année.
Face à la situation humanitaire dramatique dans les quartiers rebelles d'Alep, la grande ville du Nord, assiégés par le régime syrien, l'ambassadeur de France à l'ONU a appelé à un cessez-le-feu humanitaire immédiat, après le bombardement de quatre hôpitaux et d'une banque de sang par les forces gouvernementales.
Et le secrétaire américain à la Défense Ashton Carter a jugé lundi que la Russie était encore "loin" des positions des Etats-Unis sur un certain nombre de dossiers, dont la mise en place d'une transition politique qui verrait le retrait de Bashar et le ciblage non pas de l'opposition modérée, mais des "extrémistes".
Mardi, les chefs de la diplomatie américaine John Kerry et russe Sergueï Lavrov doivent également se rencontrer au Laos, en marge d'une rencontre des pays d'Asie du Sud-Est (Asean).
De son côté, l'émissaire de l'ONU pour la Syrie Staffan de Mistura espère relancer des pourparlers de paix en août, après l'échec de deux sessions de négociations cette année.
Face à la situation humanitaire dramatique dans les quartiers rebelles d'Alep, la grande ville du Nord, assiégés par le régime syrien, l'ambassadeur de France à l'ONU a appelé à un cessez-le-feu humanitaire immédiat, après le bombardement de quatre hôpitaux et d'une banque de sang par les forces gouvernementales.
Et le secrétaire américain à la Défense Ashton Carter a jugé lundi que la Russie était encore "loin" des positions des Etats-Unis sur un certain nombre de dossiers, dont la mise en place d'une transition politique qui verrait le retrait de Bashar et le ciblage non pas de l'opposition modérée, mais des "extrémistes".
Mardi, les chefs de la diplomatie américaine John Kerry et russe Sergueï Lavrov doivent également se rencontrer au Laos, en marge d'une rencontre des pays d'Asie du Sud-Est (Asean).
De son côté, l'émissaire de l'ONU pour la Syrie Staffan de Mistura espère relancer des pourparlers de paix en août, après l'échec de deux sessions de négociations cette année.
Face à la situation humanitaire dramatique dans les quartiers rebelles d'Alep, la grande ville du Nord, assiégés par le régime syrien, l'ambassadeur de France à l'ONU a appelé à un cessez-le-feu humanitaire immédiat, après le bombardement de quatre hôpitaux et d'une banque de sang par les forces gouvernementales.

(26-07-2016)

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