Le chef de la diplomatie syrienne Walid Mouallem a affirmé samedi que le
sort de Bachar al-Assad était une "ligne rouge" et que si
l'opposition voulait en discuter lors des pourparlers de Genève prévus
lundi, elle ferait mieux de ne pas venir.
"Nous ne négocierons avec personne qui veut discuter de la présidence.
Bachar al-Assad est une ligne rouge et s'ils (l'opposition) veulent
continuer avec cette position c'est mieux qu'ils ne viennent pas",
a-t-il dit lors d'une conférence de presse à Damas.
A deux jours des pourparlers, le fossé entre le régime et l'opposition est immense.
Le Haut comité des négociations (HCN), rassemblant les groupes clés de
l'opposition syrienne, insiste de son côté sur la "constitution d'un
corps exécutif transitoire doté de tous les pouvoirs exécutifs" et dans
lequel Bashar al-Assad "n'a pas sa place".
Lancé le 19 décembre 2011, "Si Proche Orient" est un blog d'information internationale. Sa mission est de couvrir l’actualité du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord avec un certain regard et de véhiculer partout dans le monde un point de vue pouvant amener au débat. "Si Proche Orient" porte sur l’actualité internationale de cette région un regard fait de diversité des opinions, de débats contradictoires et de confrontation des points de vue.Il propose un décryptage approfondi de l’actualité .
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