Dans un communiqué, les services de Bernardino Leon, l'émissaire spécial de l'Onu pour la Libye, font état de "progrès significatifs" et appellent les parties libyennes à "redoubler leurs efforts et continuer de travailler ensemble pour réduire les divergences".
Quatre ans après la chute du régime de Muammar Kadhafi, la Libye est toujours plongée dans un chaos sécuritaire et politique. Deux gouvernements, l'un reconnu par la communauté internationale mais réfugié dans l'est du pays, et l'autre mis en place par des miliciens regroupés au sein de l'alliance Aube de la Libye qui tiennent Tripoli, se disputent la légitimité du pouvoir.
Une partie des factions ont signé mi-juillet au Maroc un accord initial sous l'égide de l'Onu portant sur la fin des combats et la formation d'un gouvernement d'union nationale. Mais un des acteurs-clés du conflit, le Congrès général national (CGN), parlement basé à Tripoli, s'est abstenu.
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