Ce n’est pas la première fois que les soi-disant « activistes » sionistes se livrent à de tels crimes contre les Palestiniens, mais aussi les autres peuples arabes… Depuis Deir Yassine et jusqu’à nos jours, des milliers de crimes contre l’humanité ont été commis, non seulement en Palestine, mais aussi en Egypte, au Liban et en Syrie.
Citons, à titre d’exemples, le bombardement des « phantoms »de l’école primaire de « Bahr el Baqar », en 1970, en Egypte. Bilan : 30 enfants tués et 50 autres blessés (certains succombèrent à leurs blessures). Citons aussi les massacres de Sabra et Chatila, ceux de Qana, ville libanaise martyre deux fois de suite, à dix ans d’intervalle, en 1996 et 2006… Et, n’oublions surtout pas les centaines de nourrissons qui ont péri à Gaza ou, avant cela, à Jénine et ailleurs en Cisjordanie.
N’oublions pas, parce que les « défenseurs » des droits de l’Homme tentent d’annihiler notre mémoire, non pas seulement par l’indifférence qu’ils manifestent vis-à-vis des crimes commis par les Israéliens contre les peuples arabes, mais parce que ces mêmes « défenseurs » poussent le holà chaque fois qu’un Palestinien tente de défendre son droit à la terre de ses ancêtres, son droit au retour sur cette terre qui lui appartient.
Ça suffit comme ça !
Pas de Ku Klux Klan en Palestine ou ailleurs. Pas de sionisme. Pas de Daechisme.
Combattons les criminels de tous bords, à commencer par ceux qui cautionnent et défendent les crimes vils et odieux.
Marie Nassif-Debs
Lundi, 03 août 2015
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