Depuis le 1er octobre, les violences ont fait 37 morts, dont plusieurs
auteurs d'attaques, et des centaines de blessés côté palestinien ainsi
que sept morts et des dizaines de blessés côté israélien.
Alors que le Conseil de sécurité se penchait vendredi à New York sur la
question, à l'instigation des pays arabes, et que M. Kerry compte venir
dans les "prochains jours" au Proche-Orient, il est difficile de
discerner quel rôle peut jouer la diplomatie, jusqu'à présent
impuissante à contenir le cycle de violences.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est redit prêt à
rencontrer le président palestinien, y compris en présence du roi
Abdallah II de Jordanie, tout en accusant de nouveau accusé Mahmud
Abbas d'incitations à la violence.
Pour la première fois, il a reçu un soutien ferme de la part du
secrétaire d'Etat américain. M. Abbas "doit condamner (la violence) haut
et fort", a dit M. Kerry à la radio NPR News, "et il ne doit pas se
livrer à une incitation dans le registre de ce qu'il a parfois été
entendu dire".
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