A l'issue d'une réunion de son Conseil de sécurité nationale à
Washington, le président Obama a souligné que la trêve imminente était
"une étape possible afin de mettre fin au chaos" en Syrie.
"Les jours à venir seront cruciaux, le monde regardera", a déclaré M.
Obama. Tout "dépendra largement du respect de leurs engagements par le
régime syrien, la Russie et leurs alliés", a-t-il souligné.
Sur le terrain, les violences faisaient toujours rage ces derniers jours
dans plusieurs régions, notamment dans la province d'Alep (nord), où
l'armée de Bashar, appuyée par l'aviation russe, a repris à Daesh Khanasser, une
localité stratégique proche de la ville d'Alep.
Selon une organisation non gouvernementale, l'Observatoire syrien des
droits de l'Homme (OSDH), 20 jihadistes ont été tués dans les raids
russes lors de la prise de cette localité.
Fort de ses succès forgés avec l'aide de la Russie, le régime a
souligné, en acceptant la trêve, qu'il poursuivrait ses "opérations
militaires" contre l'EI, Al-Nosra "et les autres groupes terroristes qui
leur sont liés".
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