La France a lancé lundi le chantier de construction de son nouveau Centre culturel (CCF) à Ghaza, seule institution culturelle étrangère encore ouverte dans ce territoire palestinien administré par le Hamas et sous blocus israélien.
"Le CCF de Ghaza représente un espace unique de dialogue et de liberté ouvert à la société civile", a expliqué le consul général de France à Jérusalem Frédéric Desagneaux, lors du lancement du chantier. Le Centre culturel français est de fait un endroit atypique à Ghaza, qui propose de rares événements culturels comme la journée de la francophonie, la fête de la musique et la Nuit blanche.
On a pu y entendre des groupes de rap chantant en arabe et voir des spectacles de breakdance au ton engagé. Des créations de peintres palestiniens contemporains y sont régulièrement exposées.
Les travaux doivent durer un an pour un coût estimé à un million d’euros, a-t-on précisé de source diplomatique française.
Le nouveau CCF est situé dans le centre de la ville de Ghaza, avenue "Charles de Gaulle", sur un terrain de 2.000 mètres carrés offert en 2006 à la France par l’Autorité palestinienne.
Les locaux, entièrement neufs, comprendront une galerie d’exposition, une salle polyvalente pour accueillir des conférences et des concerts, quatre salles de cours, une médiathèque et une cafétéria.
Ils abriteront aussi l’antenne consulaire française dans la Bande de Ghaza.
Le CCF de Ghaza reçoit quelque 500 étudiants de français par an. Plus de 200 sont inscrits à la médiathèque.
Il y a un CCF à Ghaza depuis 1982. Géré par une équipe de sept animateurs dirigés par un directeur français, il est aujourd’hui hébergé dans une villa de l’avenue "Victor Hugo", également dans le centre-ville.
Il a été la cible de manifestations anti-françaises dans le passé.
La France est aussi présente à travers ses CCF en Cisjordanie, à Ramallah et Naplouse, ainsi qu’à Jérusalem.
"Le CCF de Ghaza représente un espace unique de dialogue et de liberté ouvert à la société civile", a expliqué le consul général de France à Jérusalem Frédéric Desagneaux, lors du lancement du chantier. Le Centre culturel français est de fait un endroit atypique à Ghaza, qui propose de rares événements culturels comme la journée de la francophonie, la fête de la musique et la Nuit blanche.
On a pu y entendre des groupes de rap chantant en arabe et voir des spectacles de breakdance au ton engagé. Des créations de peintres palestiniens contemporains y sont régulièrement exposées.
Les travaux doivent durer un an pour un coût estimé à un million d’euros, a-t-on précisé de source diplomatique française.
Le nouveau CCF est situé dans le centre de la ville de Ghaza, avenue "Charles de Gaulle", sur un terrain de 2.000 mètres carrés offert en 2006 à la France par l’Autorité palestinienne.
Les locaux, entièrement neufs, comprendront une galerie d’exposition, une salle polyvalente pour accueillir des conférences et des concerts, quatre salles de cours, une médiathèque et une cafétéria.
Ils abriteront aussi l’antenne consulaire française dans la Bande de Ghaza.
Le CCF de Ghaza reçoit quelque 500 étudiants de français par an. Plus de 200 sont inscrits à la médiathèque.
Il y a un CCF à Ghaza depuis 1982. Géré par une équipe de sept animateurs dirigés par un directeur français, il est aujourd’hui hébergé dans une villa de l’avenue "Victor Hugo", également dans le centre-ville.
Il a été la cible de manifestations anti-françaises dans le passé.
La France est aussi présente à travers ses CCF en Cisjordanie, à Ramallah et Naplouse, ainsi qu’à Jérusalem.
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