Getty Images/The Washington Post/Sudarsan Raghavan
A Mogadiscio, capitale d'un Etat somalien dont il ne reste plus grand
chose, il y a trois manières de circuler : en véhicules blindés pour les
forces de l’Union africaine ou les officiels somaliens, en véhicule
privé souvent avec vitres fumées et, pour la grande majorité, en bus,
seuls véhicules de transport public. Mais il y a quand même un léger
mieux. La guerre ne fait plus partie du quotidien. La seule menace reste
les attentats. Alors, premier signe d'une timide renaissance
économique, un groupe d’hommes d’affaire a lancé une compagnie de
taxis.
(11-07-2013 - Stéphanie Braquehais, RFI)
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