Des Palestiniens se réunissent à Bethléem pour célébrer le gagnant de l' "Arab idol" Yacoub Chahine le 25 février 2017 (Afp)
Par centaines, ils ont passé la nuit de samedi à dimanche à scander le
nom de de l'enfant du pays Yacoub Chahine: la ville palestinienne de
Bethléem a célébré la victoire du chanteur au télé-crochet Arab Idol.
En finale contre un compatriote et un Yéménite, Yacoub Chahine, 23 ans, a reproduit l'exploit de Mohammed Assaf, un Palestinien de la bande de Gaza qui avait remporté l'édition 2013.
Devant l'écran géant installé pour l'occasion sur la place de la Mangeoire, là même où selon la tradition le Christ est né, des centaines de Palestiniens ont suivi la compétition et soutenu ce fils d'ébéniste, membre de la communauté chrétienne syriaque.
Toute la nuit à Bethléem, en Cisjordanie, territoire palestinien occupé depuis un demi-siècle par Israël, ils ont brandi des drapeaux palestiniens et les emblèmes de l'Eglise syriaque.
Après le résultat des votes du public, par SMS, la mère du jeune prodige, Norma Chahine, a remercié la foule, à laquelle s'étaient mêlés des officiels. "Yacoub a vaincu avec sa voix, son éducation, ses bonnes manières, son amour pour son peuple, pour Bethléem et pour la Palestine", a-t-elle lancé, extatique, à l'AFP.
Signe que les Palestiniens ont à coeur de briller sur la scène culturelle, arène supplémentaire où porter la voix de leur cause, le président Mahmoud Abbas a profité de sa visite à Beyrouth où est tourné Arab Idol pour recevoir les deux finalistes. Yacoub Chahine était opposé à Amir Dandan, un Arabe-Israélien, descendant de Palestiniens restés sur leur terre à la création d'Israël, originaire de Majd al-Kroum, en Galilée.
Samedi soir, là aussi, l'enfant du pays a été fêté. La foule s'était également massée sous un immense drapeau palestinien dans un stade pour soutenir le chanteur de 25 ans, dont la famille s'est installée depuis plusieurs années aux Etats-Unis.
Cette année, quatre des 25 concurrents d'Arab Idol étaient Palestiniens ou Arabes Israéliens, la plus importante participation palestinienne en quatre saisons.
En finale contre un compatriote et un Yéménite, Yacoub Chahine, 23 ans, a reproduit l'exploit de Mohammed Assaf, un Palestinien de la bande de Gaza qui avait remporté l'édition 2013.
Devant l'écran géant installé pour l'occasion sur la place de la Mangeoire, là même où selon la tradition le Christ est né, des centaines de Palestiniens ont suivi la compétition et soutenu ce fils d'ébéniste, membre de la communauté chrétienne syriaque.
Toute la nuit à Bethléem, en Cisjordanie, territoire palestinien occupé depuis un demi-siècle par Israël, ils ont brandi des drapeaux palestiniens et les emblèmes de l'Eglise syriaque.
Après le résultat des votes du public, par SMS, la mère du jeune prodige, Norma Chahine, a remercié la foule, à laquelle s'étaient mêlés des officiels. "Yacoub a vaincu avec sa voix, son éducation, ses bonnes manières, son amour pour son peuple, pour Bethléem et pour la Palestine", a-t-elle lancé, extatique, à l'AFP.
Signe que les Palestiniens ont à coeur de briller sur la scène culturelle, arène supplémentaire où porter la voix de leur cause, le président Mahmoud Abbas a profité de sa visite à Beyrouth où est tourné Arab Idol pour recevoir les deux finalistes. Yacoub Chahine était opposé à Amir Dandan, un Arabe-Israélien, descendant de Palestiniens restés sur leur terre à la création d'Israël, originaire de Majd al-Kroum, en Galilée.
Samedi soir, là aussi, l'enfant du pays a été fêté. La foule s'était également massée sous un immense drapeau palestinien dans un stade pour soutenir le chanteur de 25 ans, dont la famille s'est installée depuis plusieurs années aux Etats-Unis.
Cette année, quatre des 25 concurrents d'Arab Idol étaient Palestiniens ou Arabes Israéliens, la plus importante participation palestinienne en quatre saisons.
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