Jeudi, un des collaborateurs de Lakhdar Brahimi avait indiqué que ce dernier "songe(ait)" à démissionner face à l’enlisement de la guerre en Syrie. "Il y a toutes les raisons de penser" que l’entente conclue recevra le soutien des autres membres du Conseil de sécurité de l’ONU, a souligné l’émissaire, selon le texte de son bureau. "Il est tout aussi important que la région dans son ensemble se mobilise en faveur d’un soutien à ce processus", a-t-il encore affirmé.
La Russie et les États-Unis se sont entendus mardi à Moscou pour inciter le régime syrien et les rebelles à trouver une "solution politique" au conflit, et pour encourager l’organisation "au plus vite" d’une conférence internationale sur la Syrie. Cette annonce a été faite après que le secrétaire d’État américain, John Kerry, s’est entretenu pendant plusieurs heures avec le président russe Vladimir Poutine, puis avec le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
**
La Russie et les USA redoublent d’efforts pour mettre fin au conflit
La Russie et les États-Unis se sont entendus mardi à Moscou pour inciter le régime syrien et les rebelles à trouver une solution politique au conflit et pour encourager l’organisation "au plus vite" d’une conférence internationale sur la Syrie. Au cours de sa première visite en Russie en tant que secrétaire d’État américain, John Kerry s’est entretenu pendant plusieurs heures avec le président Vladimir Poutine puis avec le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov jusque tard dans la soirée. "Nous nous sommes mis d’accord pour que la Russie et les États-Unis encouragent le gouvernement syrien et les groupes d’opposition à trouver une solution politique" au conflit, a déclaré Sergueï Lavrov au côté de John Kerry, lors d’une conférence de presse qui s’est achevée après minuit. La Russie et les États-Unis se sont aussi accordés sur la nécessité de tenter d’organiser "au plus vite" une conférence internationale sur la Syrie, si possible ce mois-ci, a ajouté Sergueï Lavrov.
L’accord de Genève sur la Syrie, conclu le 30 juin par les grandes puissances, a défini la voie à suivre pour instaurer un gouvernement de transition, sans mentionner le sort du président Bashar el-Assad, faisant l’objet de divergences entre Moscou et Washington. Cet accord n’a jamais été appliqué, car le cessez-le-feu temporaire prévu dans l’accord n’a jamais été appliqué. "Nous pensons que le communiqué de Genève est la voie à suivre pour mettre fin à l’effusion de sang en Syrie", a déclaré pour sa part John Kerry.
Il a souligné que la conférence internationale sur la Syrie souhaitée par la Russie et les États-Unis devrait se tenir "dès que possible". "Sa tâche spécifique va consister à réunir les membres du gouvernement et de l’opposition afin d’examiner comment ils peuvent appliquer ce que préconise le communiqué" de Genève, a expliqué John Kerry. "Une solution négociée est le procédé nécessaire pour mettre fin à l’effusion de sang en Syrie", a-t-il ajouté.
Le secrétaire d’État américain a mis en exergue les discussions "très productives, très chaleureuses et amicales" qu’il a eues plus tôt dans la journée avec Vladimir Poutine - rencontre qui a commencé avec quatre heures de retard sans la moindre explication. Sergueï Lavrov a lui réaffirmé que le départ d’Assad - réclamé avec insistance par les Occidentaux - ne devait pas être une condition préalable pour des pourparlers de paix, tout en insistant sur le fait que la Russie ne l’encourageait pas à rester au pouvoir.
Washington cherche à convaincre Moscou, un des derniers soutiens du régime de Bashar el-Assad auquel il vend des armes, d’user de son influence pour tenter de mettre fin aux hostilités en Syrie qui ont fait plus de 70 000 morts en deux ans. "Les États-Unis pensent vraiment que nous partageons des intérêts communs importants en ce qui concerne la Syrie", a déclaré John Kerry lors de ses entretiens avec Vladimir Poutine, précisant que ces intérêts signifiaient la "stabilité dans la région, ne pas laisser des extrémistes créer des problèmes dans la région et ailleurs".
Vladimir Poutine n’a pas abordé spécifiquement les divergences de vues entre Moscou et Washington sur la Syrie, mais a indiqué que le Kremlin préparait une réponse à un message sur les relations bilatérales adressé en avril par le président Barack Obama. La visite de John Kerry coïncide avec le premier anniversaire de l’investiture de Vladimir Poutine, le 7 mai 2012, pour un troisième mandat de président, au cours duquel ces relations bilatérales se sont fortement détériorées.
Mais Sergueï Lavrov a indiqué lors de ses entretiens avec John Kerry que la rencontre avec Vladimir Poutine avait montré une volonté mutuelle de "surmonter pour de bon les vestiges du passé" et de bâtir un partenariat qui porte ses fruits. John Kerry doit rencontrer mercredi matin, avant de s’envoler pour Rome, des représentants de la société civile russe sur fond d’atteintes aux libertés dénoncées par l’opposition et les ONG depuis le retour au Kremlin de Vladimir Poutine, après deux mandats de président en 2000-2008, suivis d’un intermède de quatre ans comme Premier ministre.
**
Les rebelles abattent un avion de chasse du régime
Les rebelles syriens ont abattu mercredi un avion de chasse de l’armée dans la province d’Alep (nord), a rapporté l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). "Les combattants de l’opposition ont abattu un avion de chasse qui pilonnait un secteur près de l’aéroport militaire de Mennegh et le sort du pilote reste inconnu", a indiqué cette ONG qui s’appuie sur un large de réseau de militants et de médecins à travers la Syrie.
Dimanche, l’OSDH avait rapporté que les rebelles s’étaient emparés d’une grande partie de cet aéroport militaire. D’une surface de 2 km2, Mennegh est situé à 37 kilomètres au nord d’Alep. Jusqu’en avril 2012, c’était un aéroport servant à l’agriculture puis l’armée y a envoyé 40 hélicoptères qui ont été utilisés dans les opérations militaires à partir de décembre. De violents combats se sont par ailleurs produits mercredi près de l’aéroport international d’Alep - fermé depuis janvier - et celui de Nairab, a ajouté l’OSDH.
En début d’année, les rebelles se sont lancés dans la "bataille des aéroports d’Alep" pour priver le régime de son principal atout, visant l’aéroport international, ceux militaires de Jarrah et Kouweiris à l’est, Mennegh au nord et Nairab dans le sud. Ils ont pris pour le moment le contrôle de Jarrah. Ils détiennent aussi la quasi-totalité des aéroports de la province d’Idleb (nord-ouest).
الجيش السوري يسيطر على خربة غزالة الاستراتجية في حوران
استعاد الجيش السوري سيطرته على مدينة خربة غزالة الإستراتيجية في سهل حوران، بعد شهرين من القتال العنيف، حسب ما أعلنت مصادر معارضة.
وجاء سقوط المدينة بعد فشل المجلس العسكري لمحافظة درعا المدعوم من الأردن بمد المقاتلين في المدينة بالسلاح.
وأفادت مصادر بأن مقاتلي المعارضة التابعين لـ"الجيش السوري الحر" قطعوا الطريق السريع إلى الأردن قبل شهرين، لكن الحفاظ على الطريق بعيداً عن أيدي القوات النظامية يتوقف على السيطرة على خربة غزالة التي تقع في مفترق طرق يؤدي غرباً إلى مدينة درعا المتنازع عليها.
وانسحب حوالي ألف مقاتل سوري من المدينة، اليوم، بعدما فقدوا الأمل بوصول تعزيزات من الأردن.
وقال قائد "كتيبة شهداء خربة غزالة" أبو يعقوب لوكالة "رويترز" إن "الجيش السوري بدأ يتقدم من الشمال والغرب. بإمكاني الدخول إلى المدينة لكن لا يمكنني أن أقوم بشيء. بإمكاني تجنيد آلاف المقاتلين، لكن ما الفائدة في ظل افتقارنا للسلاح".
وذكر أبو يعقوب أنه اتصل بقائد المجلس العسكري المدعوم من الأردن أحمد النعمة قبل أن يأمر المقاتلين بالانسحاب، لكن النعمة أخبره بأنه لا يمكنه أن يفعل شيئاً.
وأضاف "خسرت 35 مقاتلاً خلال شهرين. وعندما يفتح الجيش السوري خط إمداده في درعا، ستكون الكارثة أكبر. سيعيد الجيش السوري تزويد عناصره بالسلاح وسيستأنف القتال".
وقال الناشط من جماعة "شبكة شام" الإخبارية المعارضة للمراقبة المعتصم بالله إن معظم كتائب مقاتلي المعارضة في الجنوب يلومون الأردن والمجلس العسكري على الهزيمة.
وأضاف "يتبع المجلس الاستخبارات الأردنية المهتمة بتشكيل وحدة تعمل لها بالوكالة أكثر من تشكيل قوة فعالة على الأرض تتفوق على الأسد".
وأشار الناشط من قرية الغويرية أبو بكر إلى أن "معظم المدنيين فروا من خربة غزالة، لكن الخوف يتصاعد من أن يتعرض السكان الباقون لعمليات إعدام دون محاكمة على غرار مذابح ارتكبت في بلدات أخرى تسيطر عليها قوات الأسد".
وأضاف "يفر الناس من المنطقة الآن لأنهم يخشون أن يكتسح الجيش المنطقة. سيستمر الجيش السوري الحر في الانسحاب ولن يواجه الجيش على الطريق السريع لأنه لم يعد يملك ذخيرة".
("السفير"، رويترز)
كندا مع حل سياسي في سوريا
أعلنت كندا، أمس، أنها مع حل سياسي للنزاع السوري على غرار ما أعلنت واشنطن وموسكو.
وقال وزير الخارجية الكندي جون بيرد للصحافيين "بنظرنا، لا يوجد إلا حل واحد لوضع حد لآلام الشعب السوري وهو حل سياسي".
وبرّر تردّد اوتاوا بتسليح المتمردين بوجود "متطرفين وجهاديين من العالم بأسره".
وأبلغت كندا، المعارضة السورية التي لم تعترف بها رسمياً، "قلقها الكبير حيال قمع الأكراد والمسيحيين والعلويين والشيعة وأقليات أخرى".
وأضاف الوزير الكندي "نريد القيام بكل ما يمكننا القيام به من أجل ضمان عدم تعرّضهم للقمع في حال سقط الأسد". وبالنسبة لاتهامات المعارضة السورية للنظام باستعمال أسلحة كيميائية، أشار وزير الخارجية الكندي إلى قلقه مع تشديده على التأكد من "كل الوقائع" قبل التحرك.
(ا ف ب)
انقطاع الانترنت في سوريا
أكد عدد من مواقع مراقبة الإنترنت العالمية أن خدمات الشبكة العنكبوتية قُطعت على امتداد الأراضي السورية منذ الساعة التاسعة والنصف تقريباً بالتوقيت المحلي من مساء أمس.
وأظهر تقرير موقع "غوغل" للشفافية أن استخدام صفحات خدمات الموقع من سوريا توقّف فجأة قبيل الساعة 19:00 بتوقيت غرينتش. واستمرت تقارير الموقع عن استخدام الخدمة في إظهار عدم وجود أي نشاط بعد حوالي أربع ساعات من انقطاع الخدمة.
ولفت ناشطون إلى أن خدمات الكهرباء أيضاً انقطعت عن عدد من المناطق بشكل متزامن مع قطع خدمات الإنترنت.
وأعلن المكتب المكلف عمليات استقرار النزاعات في وزارة الخارجية الأميركية، بعدما أعاد نشر معلومات الشركات الأميركية التكنولوجية على موقعه الالكتروني، أن سوريا "واجهت بعد ظهر اليوم (الثلاثاء) عطلاً في الانترنت". ولم يستطع متحدث باسم وزارة الخارجية تأكيد هذا الخبر ولا شرح الأسباب في هذا الثقب الأسود على الشبكة العالمية.
بدورهم، أشار خبراء إلى أنه من المستحيل تقريباً تحديد سبب مثل هذا الانقطاع للخدمة ما لم يعلن أحد المسؤولية. من جهته، قال رئيس قسم التكنولوجيا بشركة خدمات البنية التحتية (أبندنس) دان هوبارد "فعلياً انقطاع الخدمة يفصل سوريا عن شبكة الانترنت في بقية العالم. من غير الواضح ما إذا كانت خدمة الإنترنت داخل سوريا لا تزال متاحة أم لا".
وأضاف "على الرغم من أننا لا يمكننا التعليق الآن على سبب هذا الانقطاع، لكن الحوادث السابقة ارتبطت بإغلاق بأمر من الحكومة وأضرار لحقت بالبنية التحتية شملت انقطاعات في كوابل الألياف وانقطاع التيار الكهربائي".
("سي ان ان"، ا ف ب، رويترز)
لاريجاني : واشنطن ودول عربية علمت مسبقاً بالهجمات الإسرائيلية على سوريا
أعلن رئيس البرلمان الإيراني علي لاريجاني أن الولايات المتحدة الأميركية وبعض الدول العربية، التي لم يسمها، كانت على علم مسبق بالهجمات الإسرائيلية الأخيرة على سوريا.
وقال إنه "لدى طهران معلومات دقيقة تفيد بأن هذه الدول كانت على علم مسبق بتلك الهجمات".
وأضاف أن "الممارسات التي قام بها الأعداء تجاه مرقد الصحابي الجليل حجر بن عدي في سوريا ناتجة عن جهلهم"، مؤكداً أن جميع "التيارات المتطرفة التي ظهرت في العالم الاسلامي كانت من التيارات المساعدة لأميركا والكيان الصهيوني".
("ارنا"، ا ش ا)
استعاد الجيش السوري سيطرته على مدينة خربة غزالة الإستراتيجية في سهل حوران، بعد شهرين من القتال العنيف، حسب ما أعلنت مصادر معارضة.
وجاء سقوط المدينة بعد فشل المجلس العسكري لمحافظة درعا المدعوم من الأردن بمد المقاتلين في المدينة بالسلاح.
وأفادت مصادر بأن مقاتلي المعارضة التابعين لـ"الجيش السوري الحر" قطعوا الطريق السريع إلى الأردن قبل شهرين، لكن الحفاظ على الطريق بعيداً عن أيدي القوات النظامية يتوقف على السيطرة على خربة غزالة التي تقع في مفترق طرق يؤدي غرباً إلى مدينة درعا المتنازع عليها.
وانسحب حوالي ألف مقاتل سوري من المدينة، اليوم، بعدما فقدوا الأمل بوصول تعزيزات من الأردن.
وقال قائد "كتيبة شهداء خربة غزالة" أبو يعقوب لوكالة "رويترز" إن "الجيش السوري بدأ يتقدم من الشمال والغرب. بإمكاني الدخول إلى المدينة لكن لا يمكنني أن أقوم بشيء. بإمكاني تجنيد آلاف المقاتلين، لكن ما الفائدة في ظل افتقارنا للسلاح".
وذكر أبو يعقوب أنه اتصل بقائد المجلس العسكري المدعوم من الأردن أحمد النعمة قبل أن يأمر المقاتلين بالانسحاب، لكن النعمة أخبره بأنه لا يمكنه أن يفعل شيئاً.
وأضاف "خسرت 35 مقاتلاً خلال شهرين. وعندما يفتح الجيش السوري خط إمداده في درعا، ستكون الكارثة أكبر. سيعيد الجيش السوري تزويد عناصره بالسلاح وسيستأنف القتال".
وقال الناشط من جماعة "شبكة شام" الإخبارية المعارضة للمراقبة المعتصم بالله إن معظم كتائب مقاتلي المعارضة في الجنوب يلومون الأردن والمجلس العسكري على الهزيمة.
وأضاف "يتبع المجلس الاستخبارات الأردنية المهتمة بتشكيل وحدة تعمل لها بالوكالة أكثر من تشكيل قوة فعالة على الأرض تتفوق على الأسد".
وأشار الناشط من قرية الغويرية أبو بكر إلى أن "معظم المدنيين فروا من خربة غزالة، لكن الخوف يتصاعد من أن يتعرض السكان الباقون لعمليات إعدام دون محاكمة على غرار مذابح ارتكبت في بلدات أخرى تسيطر عليها قوات الأسد".
وأضاف "يفر الناس من المنطقة الآن لأنهم يخشون أن يكتسح الجيش المنطقة. سيستمر الجيش السوري الحر في الانسحاب ولن يواجه الجيش على الطريق السريع لأنه لم يعد يملك ذخيرة".
("السفير"، رويترز)
كندا مع حل سياسي في سوريا
أعلنت كندا، أمس، أنها مع حل سياسي للنزاع السوري على غرار ما أعلنت واشنطن وموسكو.
وقال وزير الخارجية الكندي جون بيرد للصحافيين "بنظرنا، لا يوجد إلا حل واحد لوضع حد لآلام الشعب السوري وهو حل سياسي".
وبرّر تردّد اوتاوا بتسليح المتمردين بوجود "متطرفين وجهاديين من العالم بأسره".
وأبلغت كندا، المعارضة السورية التي لم تعترف بها رسمياً، "قلقها الكبير حيال قمع الأكراد والمسيحيين والعلويين والشيعة وأقليات أخرى".
وأضاف الوزير الكندي "نريد القيام بكل ما يمكننا القيام به من أجل ضمان عدم تعرّضهم للقمع في حال سقط الأسد". وبالنسبة لاتهامات المعارضة السورية للنظام باستعمال أسلحة كيميائية، أشار وزير الخارجية الكندي إلى قلقه مع تشديده على التأكد من "كل الوقائع" قبل التحرك.
(ا ف ب)
انقطاع الانترنت في سوريا
أكد عدد من مواقع مراقبة الإنترنت العالمية أن خدمات الشبكة العنكبوتية قُطعت على امتداد الأراضي السورية منذ الساعة التاسعة والنصف تقريباً بالتوقيت المحلي من مساء أمس.
وأظهر تقرير موقع "غوغل" للشفافية أن استخدام صفحات خدمات الموقع من سوريا توقّف فجأة قبيل الساعة 19:00 بتوقيت غرينتش. واستمرت تقارير الموقع عن استخدام الخدمة في إظهار عدم وجود أي نشاط بعد حوالي أربع ساعات من انقطاع الخدمة.
ولفت ناشطون إلى أن خدمات الكهرباء أيضاً انقطعت عن عدد من المناطق بشكل متزامن مع قطع خدمات الإنترنت.
وأعلن المكتب المكلف عمليات استقرار النزاعات في وزارة الخارجية الأميركية، بعدما أعاد نشر معلومات الشركات الأميركية التكنولوجية على موقعه الالكتروني، أن سوريا "واجهت بعد ظهر اليوم (الثلاثاء) عطلاً في الانترنت". ولم يستطع متحدث باسم وزارة الخارجية تأكيد هذا الخبر ولا شرح الأسباب في هذا الثقب الأسود على الشبكة العالمية.
بدورهم، أشار خبراء إلى أنه من المستحيل تقريباً تحديد سبب مثل هذا الانقطاع للخدمة ما لم يعلن أحد المسؤولية. من جهته، قال رئيس قسم التكنولوجيا بشركة خدمات البنية التحتية (أبندنس) دان هوبارد "فعلياً انقطاع الخدمة يفصل سوريا عن شبكة الانترنت في بقية العالم. من غير الواضح ما إذا كانت خدمة الإنترنت داخل سوريا لا تزال متاحة أم لا".
وأضاف "على الرغم من أننا لا يمكننا التعليق الآن على سبب هذا الانقطاع، لكن الحوادث السابقة ارتبطت بإغلاق بأمر من الحكومة وأضرار لحقت بالبنية التحتية شملت انقطاعات في كوابل الألياف وانقطاع التيار الكهربائي".
("سي ان ان"، ا ف ب، رويترز)
لاريجاني : واشنطن ودول عربية علمت مسبقاً بالهجمات الإسرائيلية على سوريا
أعلن رئيس البرلمان الإيراني علي لاريجاني أن الولايات المتحدة الأميركية وبعض الدول العربية، التي لم يسمها، كانت على علم مسبق بالهجمات الإسرائيلية الأخيرة على سوريا.
وقال إنه "لدى طهران معلومات دقيقة تفيد بأن هذه الدول كانت على علم مسبق بتلك الهجمات".
وأضاف أن "الممارسات التي قام بها الأعداء تجاه مرقد الصحابي الجليل حجر بن عدي في سوريا ناتجة عن جهلهم"، مؤكداً أن جميع "التيارات المتطرفة التي ظهرت في العالم الاسلامي كانت من التيارات المساعدة لأميركا والكيان الصهيوني".
("ارنا"، ا ش ا)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire